Ce ne sera pas Malika, l’aînée d’Ali Bongo, dans les premiers rôles de « Dallas à Libreville ». De toute façon, elle n’était pas la préférée de Sylvie, l’épouse française d’Ali. Pour récompenser Laccruche après l’élection haut-ogouéenne de 2016, la Première Dame l’impose au cabinet présidentiel. Mais elle se rend compte que le Marseillais roule pro domo et est très gourmand. Elle le balaie. Et comme le sang ne ment jamais,elle propose Nourredine son fils à un poste au contour flou mais qui veut tout dire. Personne n’est dupe!
Derrière ces sourires, ce qui peine, c’est l’indécence de la situation! Qu’une seule intelligence familiale veuille régenter la vie de tout un pays pendant plus d’un demi-siècle ! Un regard de l’autre côté, pointe Jean Ping, candidat malheureux à la dernière présidentielle qui a voulu s’adosser à un parti socialiste français moribond pour se voir apposer un vernis de légitimité internationale. Lui Ping n’incarne pas vraiment la rupture!
Vivement un nouveau leadership. Mais ça, c’est l’affaire des Gabonais !