Il y a un ancien acteur de téléréalité qui hausse le ton dans le Bureau ovale sur un vice-président américain, ancien Marine qui a servi en Irak.
Il y a ceux qui ont annoncé l’effondrement de l’économie russe en quelques semaines et qu’on n’entend plus.
Il y a Dominique de Villepin qui s’offusque de l’humiliation du pauvre Zelensky dans le Bureau Ovale devant les caméras du monde, oubliant que lui-même avait baptisé une rébellion ivoirienne  » Forces nouvelles », 22 ans plus tôt et avait réuni dans un vestiaire de rugby rebelles et gouvernement à Marcoussis.
Il y a une élite européenne qui ne peut guérir de son atlantisme puéril et qui pense aimer l’Ukraine plus que les Ukrainiens eux-mêmes. Le narratif mainstream s’est cassé la figure. La défaite de Kamala Harris a plombé ses projections bellicistes.
De toute façon, l’idylle Trump -Musk ne durera pas longtemps. Trump se séparera du sulfureux hommes d’affaires. Influencés ou non, les Ukrainiens feront la même chose avec Zelensky. On ne parlera pas de révolution de couleur à Maidan. Qui vivra verra.
Et pour les autres, le salut ne se trouve ni à Moscou ni à Washington encore moins à Bruxelles. Mais dans la capacité à se donner les moyens de se faire respecter.
Chaque caïman a son eau.
« Yeux » connaît bagage qui est lourd. Comme on le dirait dans un tchapalodrome de Dougoutinana.
2025, année palpitante
Bienvenue Mars

Zran Fidèle GOULYZIA

About Zran Fidèle GOULYZIA

administrator
Docteur en Droit international - Ecrivain - Journaliste