« J’entends des Gaulois sortir tous les épithètes contre l’Oncle Trump Muets ils étaient face à la répression policière sous le fringant quadragénaire, six mois plutôt contre des héros de la Santé qui réclamaient dignité.
Je lis des lignes amorphes de Human Wrights Watch si prompte à tancer les tchapalocraties farafinoises. Rien ne m’étonne.
La grande puissance chiite appelle l’Oncle à ne pas massacrer son propre peuple Celle-là, c’est la meilleure !
Elle est si belle la provocation surtout quand elle est recyclée dans nos propres mots J’entends le silence assourdissant du Syndicat africain des Dougoutigui « tous Charlie » et si transparents pour #Flowd, leur fils de sang si lointain.
Qui tient les bourses, tient la plume de l’Histoire.
A Dougoutiana, cabri mort n’a plus peur de piment de Kédjénou
Fidèle Goulyzia, prose circonstancielle, Besançon, 2 juin 2020
Crédit photo: Didier Viodé